vendredi 25 août 2017

Chapitre 5 – La Forêt d’Envies

Marvin regarda devant lui ne voyant qu’un grand chemin de poussière dans la lumière de la lune. De chaque côté du chemin, les arbres étaient alignés un à coté de l’autre. On voyait que les arbres étaient vieux et massifs. On dirait que leurs racines poussaient à la vertical puisqu’il sembla plus y avoir de place dans le sol. Les arbres étaient d’un vert vivant. On voyait que la nature s’occupait d’elle-même très bien. Plus Marvin s’enfonça dans la forêt, plus le chemin sembla s’élargir. On entendit des bruits de créatures dans la forêt ainsi que des corbeaux et d’autres genres d’oiseaux. Des grondements et quelques yeux d’animaux inconnus se percevaient à travers les feuillages épais de la forêt de chaque coté. Marvin continua son chemin tout droit ne sachant pas où aller ni où tourner.

Dans le village, Nargute et Firanha étaient caché dans un endroit secret connus que par les Gardiens du Grangondeur. On ne vit que le visage de Nargute et de Firanha dans la lueur d’une chandelle dans un endroit qui semblait être une caverne. Nargute eu un aire complexé. Il avait le regard fixé sur quelque chose qui semblait s’approché d’eux. Il dit à sa femme :

« Firanha, regarde là bas! »

Firanha regarda et vit cette chose qui s’approchait. Nargute dit encore :

« C’est impossible qu’on nous trouve ici, l’entrée est ensorcelé qui peut être ici mise à part le Gardien du Grangondeur de la Vallée de Varchère? »

Une voix lointaine et essoufflé dit :

« Nargute! Nargute!»

Nargute regarda sa femme et dit :

« C’est Baragon. Le gardien de la Vallée de Varchère! »

« Mais que fait-t-il ici? »

Répondit Firanha. Nargute répondit?

« Je n’en sait rien. Je vais le retrouvé, il semble terrifié! »

Nargute laissa Firanha avec la chandelle qui le regarda s’éloigner effrayer de ce qui pouvait se passer par la suite! Nargute arriva prêt de Baragon. On ne vit que le visage de Baragon qui portait la même chemise carrotté pour passer à travers la Forêt d’Envies. Baragon avait une capines brune, il avait le visage jeune et ressemblait du jeune garçon courageux qui partait pour une noble quête. Il avait les yeux légèrement bridés. Il avait les cheveaux noires et il sembla avoir entre 19 et 27 ans. Nargute lui dit :

« Mais que fais-tu ici Baragon? »

« J’ai couru aussi vite que possible dans cette forêt en prenant le raccourcis qui mêne à l’arbre qui saigne. Je dois t’avertir… »

Baragon repris son souffle, il sembla épuisé. Nargute parla et dit :

« M’avertir de quoi! Dit moi Baragon, dit le moi!!! »

Baragon repris son souffle et dit :

« Après que tu sois parti de chez nous se matin, j’ai dû aller chercher des vives qui n’existe que dans ta vallée. Pendant que j’y suis allé, j’ai vu une des ces gens de petites tailles courir vers la maison de Fargon. J’ai donc envoyé un Geai Bleu espionner dans l’arbre tout prêt de chez eux et Fargon a mis ta tête et celle de ta femme à prix! Il semble que vous ne soyez pas de bon copain selon ce que j’ai entendu. Lorsque l’armé de Fargon sortit de la maison, un des soldats de la mort regarda le Geai bleu et commença à s’approcher, je l’ai donc rappelé. Cet endroit n’est plus sur Nargute, tu dois partir de l’autre coté de la forêt dans ma vallée! »

« NON!!! Le jeune porte ma chemise, on ne doit pas réveiller la forêt de ses démons!!! »

« Nargute, cher ami! C’est déjà fait! »

« Quoi!!! Mais comment est-ce possible? Que peut-on faire maintenant??? »

« Donne moi ta moitié de Pierre du Grangondeur car des pouvoirs maléfique se répandent tranquillement dans cette forêt et le voyageur que tu as envoyé, est en grave danger! »

« Alors dans ce cas, il faut réunir ces morceaux au plus vite et ce dans la statut du Grangondeur au milieu de la forêt! »

« Oui Nargute, il faut le faire! »

« Et le petit alors, il n’a pas assez de pouvoir pour vaincre ce qu’il l’attend si j’y vais! »

« Nous devons le faire Nargute! Nous devons le faire avant que le mal n’empoisonne ces vallées aussi!!! »

« C’est impossible Baragon! Je ne peux y aller! »

« Mais c’est ton devoir, tu dois le faire!!! »

« Je te l’ai dit, c’est impossible. J’ai remis cette moitié de pierre au voyageur. Elle est enrobée d’un tissu de Bargule. Tu sais comment ça fonctionne. J’ai aussi enfermé dans ce morceau de tissu, la formule qu’il doit dire pour réunir cette pierre et libérer la puissance du bien de la forêt. Vas-y Baragon, car moi je dois protéger ce qu’il me reste de plus chère dans ma vie. Si je meurs, je veux être avec elle! »

« Je comprend Nargute! D’accord, j’y vais! Tient, voici du sable de Grandimi. Si tu en as besoin, ça te sera utile pour prolonger ta vie et pour en sauver une autre! »

Baragon fit le chemin de retour en regardant Nargute avec un air attristé mais plein de zèle. Il hocha de la tête à Nargute en s’en allant, ce qui voulait dire qu’il allait faire ce qu’il devait faire. Nargute s’en retourna avec sa femme et lui raconta l’histoire. Firanha dit donc à Nargute :

« Préparons cet endroit car elle n’est plus sure. Je sens une présence maléfique que je reconnais. On a ce qu’il faut. Il arrive Nargute, il arrive! Le…le…le Sorcier! »

Nargute regarda sa femme et lui dit :

« Alors nous mourrons ensemble, et quoi qu’il arrive, je t’aime et même si tu dois me regarder me faire tuer, va t’en et protège le voyageur! »

« Pareille pour toi mon amour, si tu dois me regarder mourir, ne succombe pas mais garde ta vie pour sauver plus de vie que la mienne seule! »

« D’accord Firanha, préparons les choses car je la sens aussi sa présence, il n’est plus loin maintenant, il connait cet endroit, il était un Gardien avant de se faire acheté par Fargon et le mal qui l’entour! Nous devons être prudent car il connait les pouvoirs de cet endroit et sait comment s’en servir! »

Nargute et sa femme déballèrent plusieurs chose de leurs sacs à la lueur de la chandelle, il y avait des potions et des armes, des livres et plusieurs autre objet comme des pierres ou du sables. Ils se préparèrent à la rencontre du Sorcier qui n’était pas loin comme ils l’avaient ressenti.

Dehors, dans une clairière éclairé par la lumière de la lune et des étoile, on vit le Sorcier s’approché d’un gros roc qui était situé au milieu de la clairière. On ne vit que le derrière du sorcier dans sa robe noire avec sa capine sur la tête. Il leva les mains devant le roc et cria :

« Adventi Arachgouta »

Sa voix était ferme mais appesanti par la vieillesse. Il recula, le dos courbé avec un bâton à la main droite. Tout à coup, la terre se mis à trembler et le roc se souleva tranquillement de la terre et on pouvait voir sous le roc qui se leva encore dans les airs, un trou qui se forma. Plus le roc s’élevait, plus le trou s’agrandi. Le roc s’arrêta à peut près à la hauteur de 2 hommes. Le Sorcier s’avança tranquillement vers le trou et on vit des marches qui descendaient dans les ténèbres de la terre. Le Sorcier descendit donc les marche et dit :

« Luminou Activa »

Le bout de son bâton devin resplendissant et éclaira les marches où il descendit.

Marvin, qui marchait encore dans la Forêt d’Envies, arriva à une intersection où était assis un homme ou une créature quelconque. Il y avait 5 chemins différent, tous avec une pancarte en bois qui avait une gravure de ce qui se trouvait dans cette direction. Cette personne, ou cette créature était assis sur un banc en pierre qui se situait au milieu de cet endroit. Marvin se dirigea donc vers cette chose pour lui demander de l’aide et il dit en marchant vers lui :

« Excusez-moi, savez-vous où je peux trouver l’Arbre des Visions? »

Bizarrement, cette chose avait la voix d’une femme qui lui dit :

« Ne sais-tu pas lire, jeune homme? Tout est écrit sur ces pancartes. »

La chose pointa du doit une des pancartes qui avait écrit « Arbre des Visions ». La chose avait un habit vieux, épais et déchiré à quelques endroits. Elle était grosse et petite de taille et elle aussi avait une capine. Quand elle regarda Marvin, ses yeux étaient d’un vert émeraude éclatant. Mais cette créature ne sembla pas méchante, ni effrayante car elle n’avait qu’un sac avec elle. Marvin remercia alors la créature et se dirigea vers le chemin qui indiquait « Arbre des Visions ». Tout à coup, la créature apparu devant Marvin comme par magie, à vrai dire, c’était de la magie. Elle dit à Marvin :

« Ho! Oh! Oh! Jeune homme, vous n’avez guère l’habitude de voyager par ce chemin n’est-ce pas? »

Marvin, surpris, répondit :

« Non! C’est ma première fois. Pourquoi est-ce que ça vous intéresse? »

La chose répondit à Marvin :

« Mon nom est Hilarga. Je suis la gardienne des passages de la Forêt d’Envies. Cette forêt porte très bien son nom. Elle te montre ce que tu désire le plus afin de te trompé et de te prendre comme Chroude. Tu dois être prudent et trouvé la vois vers la vérité qui te mènera vers ton but. Que cherche-tu très cher. Ce chemin vers lequel tu te dirigeais, que dit la pancarte que tu regardais? »

Marvin regarda à nouveau la vielle pancarte en bois défriché par l’âge où il était écrit « Arbre des Visions ». Il vit qu’elle indiquait maintenant « Vallée des Enchanteurs ». Hilarga regarda Marvin qui avait un air surpris et commença à avoir un air de panique aussi et lui dit :

« Très chère ami. Après avoir franchis un de ces chemins, tu te retrouve pratiquement tout seul. La seule chose que je peux faire pour toi est de t’indiquer la direction que tu dois suivre pour arriver à ton but mais je ne peux pas aller avec toi. Je garde ces chemins afin de prévenir n’importe quel mal ou malheur de traverser la forêt pour atteindre son but de destruction. Mais le tien cher semble noble et courageux. La quête que tu mène nous délivrera justement de nos prisons. »

« Vos prisons??? »

Répondit Marvin d’un air embêté.

« Oui. Nos prisons, jeune, sont les quêtes que nous menons. Comme la mienne est de protéger l’entrer de ces chemins. Une fois libérer, je pourrai retourner chez moi dans le chemin de l’Entre Montagne. Mais tu vois, le chemin de l’Entre Montagne, comme tous les autres sont protégés par une force que cette forêt émet. Elle est commandé par un grand sorcier qui contrôle même le va et vient des Arbres Délimiteurs. »

« Vous parlé des arbres qui transformes les gens à leur apparences naturelles lorsqu’on travers leur lignes? »

« Oui en quelque sortes. Ou veux-tu aller cher? »

Marvin répondit par une autre question maintenant qu’il avait compris le principe de la forêt.

« Et qu’est ce qui me prouve que vous ne me voulez aucun tort? »

Hilarga lui dit donc :

« Il n’y a rien qui puisse le prouver que toi seul mais regarde ceci et tu verras que je dis la vérité. »

Hilarga fit comme si elle lançait quelque chose sauf qu’elle n’avait rien dans la main et elle cria :

« HARSHALL!»

À ce moment, son bras s’étendit et une sorte de force électromagnétique invisible frappa l’entrée du chemin où Marvin allait et du coup tout le tour de la clairière où ils étaient devin comme bleu transparent. Il paraissait comme si tous les chemins étaient bloqués par une sorte de bouclier magique. Hilarga regarda Marvin qui lui avait un air impressionné par la grande bulle bleu transparente qui s’estompait tranquillement. Le bouclier fit même un genre de bulle au dessus des arbres pour être sur que personne s’en aille. Même le sol en était couvert. L’effet se dissipa après environ une minute. Marvin regarda tout autour de lui impressionné par cette magie. Marvin regarda donc Hilarga qui la regardait encore attendant la fin de sa stupeur. Marvin dit alors :

« Comment fais-tu cela, est-ce que je peux connaitre cette formule? »

Hilarga le regarda avec un sourire au visage et lui dit :

« Ce que tu viens de voir s’appel un Harshall. Le Harshall te permet de voir certaines choses invisibles à l’œil comme justement ce bouclier autour de nous. Tu peux y entrer mais en sortir c’est autre chose. Mais toi cher, tu n’es pas limité par ce bouclier magique car tu n’as pas été mis en danger de mort par le mal. »

Marvin regarda Hilarga questionné et lui demanda :

« Mis en danger par le mal, que veux-tu dire par là? »

Hilarga, s’en alla vers le lieu ou elle s’assit, le banc de pierre. Il y avait à coté un autre sac plus gros qui semblait être des provisions. Hilarga dit donc à Marvin qui l’avait suivi jusqu’au banc :

« Lorsque tu es en danger de mort et que tu n’a pas la moindre chance de survivre, c’est là que le mal vient te voir. Quand tu as lutté contre lui et que tu as menacé sa vie, s’il réussi à menacer la tienne il te donne 2 choix. Le premier est de mourir et l’autre est de vivre éternellement mais il te met hors d’état de nuire contre ses projets personnels. Moi, j’ai choisis de vivre mais j’aurais dû choisir de mourir car maintenant, la seul chose que je vois est cet endroit, jour et nuit, été comme hivers. Si tu veux mon avis, c’est pire que la mort de vivre éternellement sans pouvoir faire ce que tu veux, où tu veux. »

Marvin, qui écouta Hilarga attentivement lui dit :

« Tu dit le mal et tu dit « Il ». Qui est-il, quel est son nom? »

« Oh cher ami, ce « Il » est le plus loin que tu réussi à aller dans la quête. Là où tu échoue, c’est ce « Il » qui te donne le choix. On sait tous que c’est une bête monstrueuse mais elle ne te parle qu’à travers du feu. Ses serviteurs se servent du Sable d’Absou qu’il lance dans le feu pour pouvoir entrer en communication avec lui. Il a des cornes et semble être une bête poilue et féroce. Selon l’histoire, quelques personnes se sont rendu jusqu’à son château mais, ils on tous été mis au pied du mur à cause du pouvoir énorme du mal. Personne ne peut vaincre cette force et lorsqu’ils se sont rendus, ils ont échoué et c’est alors que le mal leur proposa de se joindre à lui sinon il mourrait. J’ai eu ce choix aussi mais je n’étais pas assez importante à ces yeux pour qu’il perde son temps à me donner des pouvoir que j’utiliserais mal. Je préfère mon sort que de servir une bête qu’on ne voit que dans le feu. »

« Et ce fameux Har...chi…llall??? Bref cette force que tu as expulsé avec ta mais? »

« Ah! Le Harshall, oui. Et bien commence par bien le prononcer, HAR..SHALL. »

Marvin dit donc :

« HAR…SHALL »

« Bien, et maintenant, tu n’as qu’à imaginer ce que tu veut voir d’invisible et tu fait comme si tu lançais un objet invisible à cette endroit comme si cette objet serait de la poussière que tu prend dans un sac. Donc tu mets ta main vers le bas et ton bras en avant par derrière et tu lance et criant HARSHALL. »

Marvin le fit donc ce qu’il venait d’apprendre. Il mit sa main droite comme si il voulait prendre quelque chose dans sa poche de pantalon gauche et fit un mouvement comme s’il lança de la poussière en direction du passage vers le quel il se dirigea mais rien ne s’est produit. Marvin regarda donc Hilarga embêter et lui demanda :

« Qu’est ce que j’ai fait de mal, le bouclier n’est pas apparu? »

Hilarga répondit :

« Cher ami, ce bouclier, ce n’est que moi qui l’a, pas toi. Toi tu peux aller là ou bon te semble. »

Un bruit d’oiseau mélanger à celle d’une souris ce fit entendre dans le chemin où Marvin lança son Harshall. Ce bruit était fort et dur pour les oreilles mais était loin. On ne vit dans le chemin qu’une sorte de forme ronde avec une trainé vertical dans le bas comme celle d’une boule de feu qui monta avec cette espèce de champs électromagnétique bleuté de toute à l’heure. Et soudain, on vit ce genre de boule bleuté partout dans la forêt. Il y en avait une dizaine où Marvin et Hilarga étaient et on en vit environ une centaine partout autour dans la forêt. Soudain, cette chose se vira et on vit de gros yeux après cette boule, enragé d’avoir été frappé par ce champ. Pendant que l’effet du Harshall s’estompait sur cette chose, on comprenait qu’elle allait à droite et ne venait pas vers Marvin mais les cris continuèrent un bout jusqu’à ce qu’on ne les entend plus et l’effet du Harshall disparu tranquillement des autre boules de feu transparentes. Marvin et Hilarga, pendant ce temps regardèrent au tour d’eux avec méfiance jusqu’à ce qu’il n’entende plus ces cris angoissant. Hilarga pris Marvin par les épaules et le regarda droit dans les yeux et lui demanda :

« Que viens-tu faire ici et quel est ta quête jeune homme? Quel est ta quête? »

Et elle le secoua un peut. Marvin répondit en toute vitesse :

« Je suis Marvin! C’est Nargute qui m’envoie. Partout où je vais, on dit que je suis le voyageur qui doit sauver la terre du mal. Je dois trouver l’Arbre des Visions et ramener un objet qui m’aidera dans ma quête. »

C’est alors que Hilarga eu un air apaisé. Elle lâcha les épaules de Marvin, regarda à terre et réorienta ses yeux de nouveau sur Marvin et dit :

« Tu est le Voyageur. Ta quête est noble et je t’en pris, ne reste pas ici longtemps. Tu dois garder cette chemise qui te protège des Chroudes! Marvin, tu viens de me démontrer une chose que j’attendais depuis si longtemps. Ce qu’on vient de voir sont justement des Chroudes. Ils rôdent partout dans le bois et ils ont le pouvoir de te montrer les choses que tu désire le plus. Tu vois tout à l’heure, la pancarte qui a changé de nom, et bien c’était un Chroude qui t’a donné cette vision. Les Chroudes ne peuvent pas t’attaquer mais vont tout faire pour te tendre un piège pour faire ce qu’ils peuvent pour te faire enlever cette chemise et te transformer alors en Chroude. Aussitôt que tu en touche un, tu es transformé en Chroude, à moins, bien sure, de porter cette chemise alors le pouvoir du touché des Chroudes ne t’affecte pas. Tu as jeté le sort de Harshall sur un Chroude et tous ont apparu car ils fonctionnent tous ensemble mais seulement une personne doter d’un grand pouvoir peut faire apparaître plus d’un Chroude en même temps. Sert toi s’en si tu as de la misère, tu as une minute à chaque fois que tu l’utilise pour agir et voir les choses cachés. En fait ce bouclier d’Harshall te montre tout simplement les obstacles qui sont dans ton chemin qui t’empêche d’avancer. Mais méfie toi, chaque fois que tu utilise ce pouvoir, tu te fatigue de plus en plus. Tu ne dois pas dormir une fois que tu entreprends un de ces chemins. Veux-tu dormir ici cette nuit avant de poursuivre car tu a un long chemin à faire et tes forces sont absolument nécessaires? »

Marvin regarda Hilarga embêté et lui répondit :

« Où puis-je dormir… il n’y a que le banc où vous êtes assise? »

Hilarga sortie de son sac prêt du banc un lit miniature en bois. Il était environs 10 centimètres de long. Par 5 centimètre de large. Hilarga le déposa prêt du banc et fit un mouvement comme si elle poussait quelque chose d’invisible avec ses deux mains vers le lit et dit :

« ENGROSSISSO »

Le lit grossit et devint un lit normal avec des couvertures. Hilarga dit à Marvin :

« Voilâ, c’est mon lit, seulement je ne l’utilise plus souvent car je dois surveiller les gens qui passe par cet endroit. Va maintenant, dort! Je m’assurerai que rien ne t’arrive jusqu’à ton départ demain matin! Dort paisiblement car c’est probablement la dernière nuit que tu pourras avoir ce genre de sommeil. »

Marvin ôta donc ses bottes et se coucha dans le lit. Hilarga, s’assit sur le banc et veilla à ce que rien n’arrive à Marvin. Il était environ 2 heures du matin lorsqu’il s’endormit. 3 heures plus tard, Hilarga vit au loin par le chemin d’où venait Marvin un homme qui ne porta pas de chemise protectrice toute ensanglanté. Il cria :

« Hilarga! »

Et il tomba sur le sol et essaya de rampé jusqu’à Hilarga. Il dépassa la frontière des limites de Hilarga qui le prit et l’amenât vers son banc pour savoir qui il était. Elle le coucha sur le dos sur le banc et elle vit que c’était Nargute.

vendredi 18 août 2017

Chapitre 4 – Une mauvaise surprise

Marvin regarda sa chemise et alla vers la porte qui menât dans le sous-sol. Il regarda Firanha et lui dit :

« Merci beaucoup de m’avoir accueilli. Et votre chocolat chaud était excellent. »

Marvin descendis, ne sachant pas ce qu’il l’attendait mais il avait un gros sourire dans le visage. Marvin regarda autour en descendant. Il y avait des sacs en tissus brun accroché après des clous. Il y avait des tablettes un peut partout et dessus, il y avait toutes sortes de potions. Certaines potion semblaient dégoutantes tant disque d’autre avaient un éclat étincelant. Les escaliers étaient sombres et on voyait une lueur rouge/bleu dans le bas de l’escalier. Ils étaient faits en rond, comme si on descendait une tour d’un château. On pouvait en compter une vingtaine de marches.

Une fois que Marvin fut descendu, il vit à sa gauche une grosse Marmite qui ressemble à ces fameuses marmites que l’on voit en face de tous ces stéréotypes de sorcières à balais. Il y avait une grande bibliothèque derrière et quelques livres flottaient dans les aires. La plus part des livres paraissaient vieux et usés, bruns, rouges, bleus, verts et quelques jaunes. Marvin tourna à droite car il vit Nargute sortir certains objets en les mettant dans un sac brun attaché avec de la corde. Marvin vit une chose qui ne devait par contre pas se trouver dans les mains de Nargute, son sac de pierres.

« Hey! »

Répondit Marvin frustré avec un regard de méfiance.

« Pourquoi avez-vous pris ce sac. Il est à moi!!! »

Nargute répondit :

« N’ait crainte Marvin. Je n’ai pas utilisé une seule de ses pierres. Au contraire j’en ai ajouté une quinzaine de plus. Tu en auras besoin. »

La seule chose qui resta marquer dans la tête de Marvin était le fait que Nargute connaissait son nom, car il ne l’avait dit qu’à Firanha. Il posa donc la question.

« Puis-je vous poser une question Nargute? »

« Mais bien sûr mon gars! »

« Comment avez-vous su mon nom et à quoi servent ces pierres? »

« Ha! Ha! Cher Marvin, cela fait 2 questions! Premièrement ton nom je l’ai su par la connexion d’esprit que j’ai avec ma femme. C’est un pouvoir que nous disposons lorsque nous-nous marions ici dans la Vallée des Enchanteurs. Et pour tes pierres, elles sont très rare, en faite elles sont plus dur à obtenir qu’à trouver. C’est pour ça que quand une personne parvient jusqu’à ces pierres elle rempli son sac le plus qu’elle peut. Ces pierres se nomment les Pierres de Diventou. Elles se trouvent dans les forêts où les Sapins Moqueurs demeures. Ces Sapins ne sont pas méchant en tant que tels sauf si tu leurs demandent une de ces pierres, c’est alors qu’il te propose le défi de les combattre. Croit-moi jeunes hommes que c’est un vrai défi de taille. Ces arbres on le pouvoir de connaître ton niveau de connaissance et d’expérience en tout. Ils peuvent donc se mettre à un niveau plus élevé que le tien. Chaque combat est différent et la personne qui gagne ces pierre détient aussi le pouvoir de ces arbres jusqu’au niveau de leur compétence. Ces arbres peuvent te demander de les combattre par la magie ou par un combat physique. Cela dépend de la personne qui se tient devant eux. Il y peut de gens qui sont capable de les vaincre mais malgré leurs défaites, le résultat n’est jamais la mort puisque les arbres on pour but dans la vie de la défendre. Alors à quoi ces pierres servent-t-ils? Ils servent à abaisser le niveau de connaissance et de compétences des adversaires qui peut se trouver dans la forêt, vivant DANS la forêt. Exemple de ceci sont justement les Chroudes. S’ils sont assez malins pour te défaire de cette chemise, utilise ces pierres pour te défendre. Mais attention il ne faut parfois pas qu’une seul pierre pour t’en défaire alors il est préférables d’utiliser ces pierres qu’en cas d’extrême nécessité. Tient, voilà assez de nourriture et de vêtement chaud pour te rendre jusqu’à l’arbre des visions. »

« Merci, mais que dois-je faire une fois rendu à cette arbre, je ne sais même pas quoi chercher. »

« Je ne sais pas moi non-plus ce que tu dois chercher mais je sais que cela fait parti de l’arme qui t’aideras à vaincre le mal qui empoisonne ce monde. Tu sauras ce que c’est lorsque tu auras atteint l’arbre. »

« Et qui m’accompagnera? »

« Marvin, très chère, un seul gardien de chaque vallée peut entrer dans cette forêt. Si plus d’une personne entre avec ces chemises sur le corps. Le pouvoir protecteur de ces chemises se volatilise et les personnes portant ces chemises sont toutes les 2, la première cible des Chroudes. C’est pourquoi tu dois faire vite car si un malheur vient à rejoindre ces vallées, je devrai t’attendre et si tu ne sort pas et que le Gardien de chaque vallée ne se rejoint pas pour joindre les 2 Pierres du Grangondeur, le malheur s’emparera des vallées et nous seront comme tout le restant du monde de l’extérieure et notre sort reposera uniquement sur toi et sur ton destin de vaincre ce mal si puissant. Sache ceci par contre, un voyageur est déjà entré dans cette forêt mais n’en est jamais sortit. Il portait le même signe d’Éternité que toi. Peut être t’aidera-t-il si la légende dit vrai à propos de votre vie éternelle. Cela fait maintenant plus de 255 ans, qui sait s’il n’est pas un Chroude dès à présent. »

Marvin regarda Nargute dans les yeux. On voyait très bien que Marvin n’était pas craintif mais qu’il avait la peur imprégné dans ses yeux. Il demanda à Nargute :

« Quand dois-je me rendre dans cette forêt? »

Nargute monta les marches avec Marvin et ouvrit la porte qui mène vers l’extérieur et lui dit :

« C’est maintenant. Va, voyageur! Car ta vie est en danger ici. Et n’ait craint des Arbres Délimiteurs, ils ne font que se promener d’un bout de la forêt à un autre. »

Marvin regarda Nargute, qui le regarda avec un air triste et désemparer mais il avait un sourire d’espoir. Marvin marcha donc vers l’entrée de la Forêt d’Envies. Nargute et sa femme le regarda s’en aller tranquillement vers son destin pour vaincre le mal absolu.

Non loin de la maison de Nargute et sa femme, il y avait une grosse pierre qui délimitait leur propriété. Une personne de petite taille sortit de là et couru dans le village jusqu’à une maison.

Dans la maison des Chombardes, Nargute parla à Firanha et lui dit :

« J’ai mis la pierre du Grangondeur dans son sac. Je sens un grand malheur et je crains qu’il ne lui arrive quelque chose. Nous devons aller voir Jourtagon pour obtenir son aide et lui demander de faire ce qu’il peut pour protéger ce jeune homme. »

Firanha répondit d’une voit terrifié :

« Non mais tu est fou! Tu sais très bien que Jourtagon n’est pas un des plus gentils du village. Nargute, que dis-tu là? »

« Oui, tu as raison Firanha, laissons Marvin, il n’y a personne qui soit digne de confiance dans ce village sauf le Gardien du Grangondeur de la Vallée de Varchère. »

Firanha sortit dehors avec un air questionné. Nargute la regarda et lui demanda :

« Qu’y a-t’il Firanha? »

Firanha répondit en regardant derrière la pierre qui délimitait leur terrain :

« Quelqu’un nous espionnait derrière cet pierre! Et toi qui voulais demander quoi que ce soit à Jourtagon. C’est un des ces serviteurs surement, il n’a pas de grand pied. »

On voyait dans le sable au pied de la pierre des petites empreints de pas. Nargute regarda sa femme et lui dit :

« Il ne faut plus tarder, partons à l’abri pendant qu’il est encore temps. »

La personne de petite taille finis par entrer dans la maison où il s’était arrêté. La porte s’ouvrit et une grosse voix lui dit :

« Que veux-tu Kraknard? Pourquoi me déranges-tu pendant mon repas? Il vaut mieux pour toi que ce soit une nouvelle importante à mes yeux sinon, ce n’est pas à mon repas que tu goûteras. »

Kraknard regarda le sol en s’agenouillant et dit avec une voix tremblante :

« Maître! Le dernier des voyageurs est sur le point d’entrer dans la Forest d’Envies, il se nomme Marvin. »

Le maître se leva donc de la table, on ne voyait que son ombre impressionnant en taille. Il tenait à la main un bâton au bout duquel il y avait un diamant bleu étincellent dans la lumière du feu dans le foyer derrière. Le maître s’approcha de Kraknard et lui dit :

« Va en paix très chère, je crois que cette fois-ci, c’est la fin! Tu sais ce qu’il te reste à faire! Vas-y maintenant et prévient moi lorsque ce sera fait! »

Kraknard se leva et ne regarda même pas le maître et dit en sortant :

« C’est comme si c’est déjà fait! »

La porte se referma et on ne voyait que les yeux jaunes du maître dans son ombre à la lumière des flammes du foyer. Un des serviteurs dans maison dit :

« Et nous, que ferons nous Fargon? »

Fargon se revira de bord, fâché à un tel point qu’il ne dit que ces paroles :

« Je suis votre maître, ne l’oubliez pas, le jeune ne doit en aucun cas atteindre cette objet. Ce sera de votre faute s’il y arrive alors souhaitez que je ne sois pas sur votre passage si vous échouez! »

Le serviteur appela les autres autours de lui et ils sortirent avec leurs épées dans leurs gaines prêtes à tout pour retrouver ce voyageur. On appela ces gens les guerriers du mal. Ces gens semble ordinaire à première vu mais dans la nuit, leurs nature animal ressortes et font d’eux de véritables machines à tuer. Ils ne tuent par contre que pour un seul but, prévenir quiconque d’obtenir l’objet détenu dans l’Arbre des Visions. Il resta une personne avec Fargon, il se nomme Le Sorcier. On arriva à voir les traits du visage de Fargon à travers la noirceur de la pièce dans la lumière du feu. Ces yeux jaunes, les grosses joues cicatrisé partout avec une barbe noire et un nez enflé des blessures causées par de anciens combats. Il pointa du doit rapidement vers un coin où l’on ne vit qu’un ombre maigre dans un manteau noire, la capine sur la tête et des yeux rouges qui brille à la lueur du feu. Fragon dit :

« Sorcier, occupes-toi de ce cher ami, Nargute et sa femme Firanha. Ils sont probablement en route pour se caché à l’abri sacré, tu connais cet endroit. Je les veux, mort ou vif à toi de décider mais ne revient pas sans leur tête ou enchainées avec des chaines d’émeraudes! À bien y penser non! Je les veux vivant, j’ai une surprise à leur donné, une potion que j’ai gardé exprès pour eux! Un souvenir qu’ils m’ont donné ce soir là! »

Le Sorcier sorti de la maison en faisant un signe de tête d’approbation à Fargon. On ne vit que la forme de son manteau qui trainait jusqu’à terre, la tête couverte par cette capine. Il avait le dos courbé avec l’âge. La porte se referma et Fargon dit à lui-même :

« Si ce dernier voyageur vient qu’à obtenir cet objet, je ne serai que souvenir et mes plans seront anéantis. Je dois le prévenir immédiatement! »

Fargon pris du sable dans un sac noir qu’il y avait au dessus du foyer et le lança dans le feu. Un visage apparu à travers le feu, il ressemblait à un monstre, les yeux ronds et gros, on vit qu’il était poilu comme une grosse bête féroce avec des cornes et son nez n’était que 2 trous en guise de narines. On ne vit pas les formes complètement dans le feu mais on distingua parfaitement ces traits. La voix était semblable à celle du tonnerre, elle faisait trembler toute l’endroit. Cette voix dit :

« Pour quelle raison me dérange-tu ainsi Fargon, j’espère que ça en vaut la peine car tu sais ce que je peut faire! »

Fargon répondit avec une voix ferme mais on voyait sur son visage qu’il suait de peur. Il dit :

« Le dernier des voyageur est ici et il a déjà atteint La Forest d’Envies. »

La bête du feu répondit alors avec fureur :

« QUOI! Alors ce garçon est vivant! Je te donne tout le pouvoir que tu as besoin pour l’empêché d’obtenir cet objet! Cet objet peut causer ma perte, tu comprends! Alors, débarrasse moi en et qu’on en parle plus! »

Fargon répondit alors encore plus effrayer :

« Mais la magie que contient cette forêt ne me permet pas d’y entrer! Et même toi tu n’y peux rien alors comment puis-je faire! »

La bête devint encore plus furieuse et dit :

« Tu as le pouvoir de faire entrer ce que tu veux dans cette forêt! Tu es un incapable et un bon à rien! Je dois tout penser à ta place! Tu peux connaitre ses pensées et ses désires les plus grands et tu me demande comment mettre fin à la quête de ce garçon? »

Le feu devint alors rouges et vert et son intensité augmenta et les pierres autour du foyer commença à fondre lorsque Fargon dit d’un vois terrifié :

« D’accord, d’accord! Je sais quoi faire oui! Je connais ses rêves et ses passion, ce n’est qu’un jeune homme et je sais ce qui distrait les jeunes hommes, et dans son cas, c’est une fille qu’il allait épouser, elle pourra m’être utile. Ne vous fâchez pas, je ferai tout ce que vous me demanderez! »

« Tu n’a guère le choix! Si tu échoue, je t’envois de la visite que tu n’oublieras jamais! »

« Ce ne sera pas nécessaire oh grand maître! »

« Et que je ne te revois plus à moins d’avoir accomplit ta mission! »

Le feu baissa. Fargon trembla de peur. Il prit un livre, quelques chandelles et des allumettes et partit de chez eux. La porte se referma sur l’image de Fargon qui s’en alla en direction de la Forêt d’Envies qu’on voyait à environ 7 kilomètres de marche par le chemin central du village. Dans la lueur de la lune du soir, on entendit un hibou au loin et un loup crier dans les montagnes.

jeudi 10 août 2017

Chapitre 3 – Une vallée accueillante

Marvin marcha à travers le village de la Vallée des Enchanteurs avec les parents du Capitaine Chombarde. Il était surpris de l’apparence des parents de Gronde. Sa mère avait un voile sur la tête blanc et avait une belle robe rouge sang attaché par une corde à la taille. Des dentelles blanches dépassaient de sa robe dans le bas. Il y avait un corbeau de cousu sur le devant de sa robe. Le corbeau était de la même couleur que la robe sauf pour ses yeux qui était d’un bleu d’azure, il brillait à la lueur du soleil. C’était environ midi quand Marvin et les parents de Gronde commença à marcher. Le père de Gronde par contre avait l’air d’un bucheron. Il portait des pantalons noirs et ses bottes étaient attachées à ses chevilles pareilles comme Marvin. Il avait un chandail carotté aux manches courtes déchiré au niveau de l’épaule. La mère avait un visage jeune, les cheveux noirs et les yeux bruns. Le père lui avait une barbe courte et une moustache, brun et blanc comme ses cheveux. Ses yeux étaient verts, mais pas n’importe quel vert, un vert émeraude et vif. Marvin posa les questions les plus approprié lorsque l’on rencontre quelqu’un pour la première fois :

« Alors vous êtes les parents du Capitaine Chombarde! Vous n’avez pas l’aire si vieux. »

La mère de Gronde répondant en ricanant.

« Ho! Ho! Voyageur! Merci, c’est gentil de nous voir si jeunes. Ici, tu ne verras pas beaucoup de gens vieux. C’est le but de cette vallée. »

La mère de Gronde avait une voix douce et calme. Comme les grand-mères des histoires de fées. C’est le genre de personne qui dégage une ambiance douce et chaleureuse. Marvin répliqua sans se poser trop de question puisque c’est dans sa nature de vouloir toujours savoir à qui s’adresser.

« Ah! Bon! D’accord! Quel sont vos noms? »

« Je suis Nargute Chombarde, le père de Gronde. Et voici ma femme, Firanha. »

« Enchanté de vous connaître. Puis-je savoir où nous allons? »

Firanha répondis :

« Nous allons diner à la fête du quartier. Tu pourras connaître beaucoup de gens là bas. Tu te familiariseras ainsi avec les lieux. Ensuite nous irons souper chez nous. Ça ne te dérange pas que nous te faisons visité notre village? »

Marvin répondit :

« Non! Pas du tout! »

Marvin était chaud à l’idée de connaitre cet endroit. Les gens semblaient sympathiques et les maisons avaient l’aire très chaleureuse. Ils étaient faits en terre avec des toits de pailles. On pouvait distinguer facilement les gens de revenue plus haut en voyant la grosseur des maisons. Les pancartes sur les boutiques étaient en bois tailler avec le nom de la boutique. Ils passèrent en fasse d’une boulangerie, d’un poissonnier et d’un vendeur de soulier. Toutes les gens semblaient vivre en harmonie. Marvin se demanda si l’histoire du Capitaine Chombarde était vrai puisqu’aucune de ces personne semblaient troublé par quoi que ce soit.

Marvin et les parents de Gronde s’arrêtèrent dans une place publique. Il y avait des chanteurs, des danseurs et de la musique joyeuse, les flutes et les guitares jouaient des airs harmonieux. Il y avait beaucoup de gens à cette place, c’était la place publique. Il y avait au centre, une grosse horloge solaire. C’est une horloge qui indique le temps selon la position du soleil. Elle était faite qu’avec une seule pierre. Cette pierre était bleue, un bleu ciel. Marvin trouva cet endroit magnifique, juste par ses yeux on pouvait voir une lueur de plaisir et de bien-être. Marvin passa à coté d’une fontaine naturelle qui coulait au nord de la grande horloge. La fontaine était alimentée par la montagne qui se trouve encore plus au nord. La montagne était pleine de verdure. On voyait clairement les endroits où les arbres poussaient et où il n’y avait que de l’herbe. Certains endroit étaient même rouge et d’autre bleu et d’autre jaune. Les fleurs poussaient comme bon leur semblaient. C’était une vue grandiose et magique. Marvin le contempla avec un grand sourire de confort. Marvin regarda ensuite dans l’eau pour voir la clarté de l’eau et c’est à cette instant que son visage changea d’une paix profonde à un grand soupire de peur.

Marvin n’a pas eu le temps de contempler la fontaine et la beauté de l’eau, c’est son reflet qui l’a saisi tout à coup. Où était partie sa tête chauve et ses yeux vert-brun. Marvin ne voyait plus le visage qu’il connaissait auparavant mais l’image d’un jeune homme qui ne voulait plus se souvenir. Tout à coup il se mit à tremblé et une grande peur le saisi. Il se souvenu alors de son jeune temps. Il était caché dans une armoire remplit de potion magique. Il entendait des hurlements et des grondements énormes. Des vois venait de partout. Il semblait comme des vois d’esprit maléfique qui chuchotait dans ses oreilles de sortir de là. Il se tourna vers la porte de l’armoire pour sortir quand il vu un miroir et dans ce miroir, il vit ce jeune homme et une vois lui disait, reste, tu dois nous sauver. C’est alors qu’il entendit un bruit d’effondrement et un poids énorme écrasa l’armoire de potion. Soudain les décombres se sont ouvert et un ombre sombre avec des yeux jaunes le regarda en disant avec une vois grosse et terrifiante :

« OÙ EST LE JEUNE! OÙ EST-T-IL! JE LE VEUX IMMÉDIATEMENT!!! »

Marvin tremblait de partout, il eu si peur qu’il s’évanoui. Il entendit des voix un peut plus tard qui disaient :

« Cette potion d’invisibilité lui a certainement sauvé la vie! »

Soudain, Martin ouvra les yeux et vit Nargute qui le regardait en disant :

« Ça va, voyageur? Vient, partons car tout le monde t’as vu. Il faut partir immédiatement. »

Nargute pris Marvin dans ses bras et le transporta jusqu’à leur maison. Leur maison était de grandeur moyenne. Il y avait de la fumée qui sortait de la cheminée. Il y avait aussi à l’entrée quelques cordes de bois pour chauffer la maison. Cette maison était différente des autres, éloigné du village et entouré d’arbres magnifiques. Marvin se sentait vider de ses forces mais quelque chose capta son attention. Il sembla voir un arbre marcher ou bouger mais ses yeux étaient trop appesanti par la vision violente qu’il avait eu et il se rendormi dans les bras de Nargute.

Firanha regarda Nargute autour de la table pendant que Marvin était étendu sur le divan, non loin du four à bois où il a été déposé. Il était emmailloté avec une couverte de laine et il y avait 5 chandelles formant un triangle sur la petite table en bois sur le coté du divan au pied de Marvin. Firanha dit à Nargute :

« Que s’est-t-il passé. Serait-ce ses souvenir qui reviennent le hanté? Il semble que son visage l’a bouleversé comme si il ne l’avait pas vu depuis des années. »

Nargute répondit :

« Tu sais, Firanha, quand tu es des années enfermé pour te protéger des maléfices de cette vie, il se peut que tu ne vois jamais grandir ton visage. Je crois qu’il vient de se rendre compte de l’âge qu’il avait et à quel point cette quête est importante pour l’humanité et surtout pour lui. »

Firanha, répondit d’une voix tremblante, ses yeux même démontraient la peur :

« Oui mais, Nargute, je crois tout de même qu’il y a quelque chose de bizarre. Que lui est-t-il arrivé dans le village. Tous les gens du village savent dès à présent qu’il n’est pas du coin. Il va falloir faire quelque chose sinon, on ne sait ce qui lui arrivera. Il aurait dû savoir que ce n’était pas la place pour faire une scène comme celle-ci. Il était déjà remarqué par les plus grands du village. Rassure-moi Nargute… »

Nargute regarda sa femme avec un aire d’incertitude mêlé au regard d’une foi profonde que celui-ci était le voyageur tant attendu. Il lui dit :

« Je ne connais point l’avenir, mais j’ai confiance en ce jeune homme. Le mieux que nous puissions faire pour lui est de l’accompagner discrètement. Allons en bas préparer les potions. Tout ira bien, mais cette quête est la sienne. Il est le seul à savoir ce qu’il faut faire. Allons-y! »

Nargute et Firanha s’en allèrent dans le sous-sol préparer une potion. Tout ce qu’on entendit c’est des chuchotements venant des voix de Nargute et sa femme et le bruit des criquets. On entendit des bruits lointain qui paraissaient comme des voix, elles étaient mêler avec le vent froid qui venait de la mer.

Marvin se réveilla. La table à laquelle Nargute et sa femme ont eu leur discussion, était rempli de mets plus appétissant les un que les autres. Marvin s’assis donc sur le divan tant disque Firanha s’en venait avec une tasse chaude dans les mains.

« Bon matin jeune homme! Voulez-vous un chocolat chaud? »

Marvin demande donc :

« Mais quelle heure est-il? »

« Il est environ 9h le matin. Mon mari est parti chercher du bois pour nous garder au chaud. Vous avez bien dormi? »

Marvin pris la tasse de chocolat chaud, il la senti et un sourire de délice lui paru dans le visage. Il dit à Firanha :

« Merci, c’est très gentils. Mais il y a une chose… »

« Et qu’est ce que c’est? » répondit Firanha.

« Appeler moi, Marvin. Et oubliez le « vous », c’est un peut gênant. Vous faites pratiquement le double de mon âge, même si cela ne parait pas beaucoup. »

« Merci Marvin, c’est gentils. En faite je n’ai pas tout à fait le double de ton âge. »

« Ah bon! Et quel âge avez-vous si ce n’est pas indiscret? »

Firanha répondit en souriant :
« Ce n’est pas discret du tout cher. Quand le voyageur veut connaître quelque chose, c’est un honneur pour nous de lui dire. J’ai 329 ans. »

Marvin s’étouffa avec la gorgé qu’il avait pris et renversa son chocolat chaud sur sa chemise blanche, car on lui avait ôté son manteau bleu. Marvin regarda Firanha et dit :

« Mais comment peut-on vivre aussi vieux? »

Firanha lui dit :

« Attends-moi un instant, je vais te faire un autre chocolat chaud et je t’expliquerai. »

Firanha s’en alla et dans la cuisine faire un chocolat chaud et revint avec une nouvelle tasse. Elle a ramassé la tasse renversé et à remis un autre chemise à Marvin. La chemise était carotté rouge comme les dizaines d’autre que possédait Nargute. Firanha commença à expliquer à Marvin qu’est ce qui en était pendant qu’elle buvait elle aussi un chocolat chaud. Marvin regarda le chocolat chaud et dit :

« Avant de m’expliquer, pouvez-vous me dire pourquoi vous prenez un chocolat chaud aussi? Habituellement c’est du café, non? »

Firanha regarda Marvin en riant et lui dit :

« Vous me faites drôlement rire. Oh! Excuse-moi. Tu me fais vraiment rire. Ton chocolat chaud est un chocolat chaud ordinaire mais le nôtre est fait avec une potion spéciale qui permet de garder notre apparence jeune, l’ingrédient actif est justement le cacao. C’est pour ça que nous buvons du chocolat chaud. »

« D’accord et dite moi, comment restez-vous en vie si longtemps? »

« Et bien, Marvin, cette vallée est magique tu sais. Regarde à travers la fenêtre derrière moi. »

Marvin regarda à travers la fenêtre qui se situait derrière Firanha. Ils étaient assis dans le salon. Firanha était assise à l’endroit où Marvin avait la tête coucher sur le divan. Marvin vu une grande forêt. Les oiseaux chantaient, et le vent chatouillait le feuillage des nombreux arbres. Il y avait au milieu de cette forêt, c'est-à-dire en face de la fenêtre, un grand chemin. Il vit un homme dans le paysage au loin, mais il pu quand même voir son visage et le linge qu’il portait. Marvin regarda Firanha avec un air surpris et interrogé et lui dit :

« Mais qui est-ce dans le chemin, et d’où vient-il? »

Marvin savait déjà qui c’était mais il ne voulait pas y croire. Les vieux pantalons déchirés et la chemise carotté rouge, c’était surement Nargute.

« Mais tu ne le reconnais pas Marvin? »

Marvin regarda Firanha surpris et dit :

« Non, impossible, ce n’est pas… »

« Oui, c’est mon mari. Tu vois Marvin, il y a 2 arbres qui servent de ligne de séparation entre cette vallée et celle de Varchère. Entre ces deux vallées, il y a cette forêt. Ces 2 arbres se déplaces comme bon leur semble. Une journée, la Vallée des Enchanteurs à plus de terrain et d’autre c’est Varchère. Quand tu franchis cette ligne, entre les 2 arbres, ton apparence revient à la normal. La potion que nous faisons… »

La discussion fut interrompue par le retour de Nargute qui dit à Firanha :

« Tu lui explique à propos de cette forêt n’est-ce pas? »

« Oui chérie, c’est ce que je suis en train de lui expliquer. »

« D’accord, je te laisse finir ton histoire car après, il est temps de dire à Marvin son chemin vers la première parti de sa quête. Je descends en bas préparer ses affaires. Et que fait-il avec ma chemise? »

Marvin regarda sa chemise, croyant que c’était mal de porter une des chemises de Nargute. Nargute lui dit :

« N’ait craint, tu en auras besoin de toute façon, tu peux garder celle-là. »

Marvin répondit :

« D’accord, merci! »

Marvin regarda ensuite Firanha et lui demanda de continuer. Firanha dit alors :

« Alors, c’est ça, la potion que nous faisons réagit selon l’endroit où nous sommes. Quand tu travers cette ligne, ton apparence change. Les seules personne qui peuvent traverser cette forêt son les Gardes du Grangondeur. »

« Grangondeur, mais qu’est ce que c’est? »

« Le Grangondeur est la pierre qui uni les forces des villages pour détruire toutes forces maléfique qui voudrait entrer dans ses profondes vallées. Il n’y a que les gens portant les chemises Grangondes qui peuvent traverser cette forêt sinon, la forêt elle-même te transforme en Chroude.»

« Et qu’est ce qu’un Chroude? »

« Les Chroudes son les chasseurs de non Grangondeurs, s’il ne voit pas cette chemise, ils te chassent et te transforment en Chroudes aussi. Tu deviens alors esclave de la forêt et la seule chose que tu désire est de protéger le bien qui se trouve dans l’Arbre des Visions. Tu n’es que fumée, tout ce qui fait parti de la forêt peut être un Chroudes. Les Chroudes peuvent transformer ce qu’ils veulent en les délices les plus convoitées de ta vie et même faire paraître comme si le temps n’était plus. Cette chemise doit rester continuellement sur toi car même avec cette chemise, si un Chroudes pense que tu n’es pas supposé être à l’endroit où tu es, ils feront tout pour te l’enlever et te prendre avec eux. Va maintenant, rejoins Nargute car ta quête commence justement dans cette forêt.»

Marvin lui demanda donc :

« Et je suis supposé aller dans cette forêt? Mais vous venez de me dire que c’est dangereux! »

Firanha lui dit alors avec des yeux de tristesse mais avec une voix ferme :

« Garde cette chemise et rien ne t’arrivera de mal. C’est ta seule défense contre cette forêt. »

Chapitre 2 – Un malheur inattendu

Le matelot lui donna une gourde d’eau, qui ressemblait à un sac de cuire brun, et du pain comme provisions. Il monta les escaliers en disant:

« Je suis Arthur, viens, suis-moi! »

Voyant qu’il n’avait pas vraiment d’autre chose à faire, Marvin suivi Arthur. Tout en haut des marches, Marvin tomba face à face avec un home imposant. Il avait le visage défait avec l'âge. Il portait une épée sur un coté de sa hanche et un fusil de l’autre. Il avait un grand chapeau sur la tête. Il avait les cheveux poivre et sel. Il dit d’une voix ferme et profonde :

« C’est ici ton dernier arrêt, jeune homme. Notre avenir est entre tes mains. Ta quête est noble et tu auras besoin de beaucoup de courage et de force pour finir cette quête. Tu es le voyageur que nous attendions depuis si longtemps. »

Marvin regarda le capitaine droit dans les yeux et demanda:

« Et quel est cette quête? Je ne suis pas au courant de rien, moi? »

« Écoute fiston. Tous voyageurs qui se trouvent sur mon bateau à une quête. Je ne connais pas ces quêtes. Mais la tienne est connue de tous. Tu es le voyageur avec le signe d’Éternité. »

« Le signe d’Éternité? Mais où voyez-vous ce signe, capitaine? »

Malgré son allure imposante, le capitaine sembla très sympathique et sans aucune méchanceté. Marvin n’était donc pas effrayer en sa présence et n’hésita donc pas à poser des questions, d’autant plus qu’il semblait avoir une certaine importance aux yeux du capitaine. Le capitaine débuta la conversation ainsi:

« Jeune homme, quel est ton nom? »

Marvin pris une chance en répondant à la question du capitaine par une autre question.

« Je suis Marvin. Et le votre capitaine? Et s’il vous plaît, ne me dite pas capitaine quelque chose, dite moi votre vrai nom. »

En disant cette phrase, plus un matelot bougea. Tous regardèrent Marvin ne sachant pas ce qui allait se passé. Le capitaine fit une pause et éclata de rire, ce qui calma les matelots. Le capitaine répondit en terminant son rire:

« Cher Marvin, je dois dire que personne ne m’a jamais parlé de cette façon depuis très longtemps. Tu es curieux et tu sais ce que tu veux. Mon nom est Gronde Chombarde, mais comme tu as pus le deviner on m’appel, Capitaine Chombarde. Je t’aime fiston, tu es un des rare voyageurs à ne pas avoir eu peur de moi. »

« Mais M. Chombarde … »

Le capitaine l'interrompu et dit d’une voix plus sérieuse mais tout de même avec un sourire en coin :

« Capitaine Chombarde, s’il vous plaît. Tu sauras jeune homme que quand un homme devient capitaine, c’est une gloire pour lui et un triomphe sur des années de dur labeurs. Appel moi Capitaine Chombarde ou tout simplement, Capitaine. Je t’ai dit mon nom car tu va me voir qu’une seul fois et à moins de réussir cette quête, tu ne me verras plus jamais. »

« D’accord, Monsie…euh! Capitaine Chombarde. Mais vous ne m’avez pas encore répondu sur ce fameux signe d’Éternité. »

« Tu as toute à fais raison Marvin. Regarde ton poignet. »

Marvin regarda son poignet et vit un poisson tatoué. Ce tatouage était un poisson très simple mais sa queue n’était pas finie. C’était comme les « X » que les gens font d’un trait sans lever le crayon, il commence en traçant une line diagonal, il font une boucle et fait l’autre ligne en diagonale. C’était le même cas mais l’image était clairement un poisson. Marvin regarda le capitaine, incertain de ce que tout cela signifiait. Il lui dit :

« Garçon, ce signe a été gravé il y a des siècles sur une maison dans une contré lointaine qui a été détruite par une puissance que nul ne peut voir. C’est grâce aux pouvoirs des gens de cette maison que cette terre pouvait être habitée paisiblement. Les gens rêvaient et s’amusaient entre eux. Depuis la destruction de celle-ci, les cauchemars son devenue de plus en plus fréquent, les morts subites son devenu coutumes et les querelles sont devenues de plus en plus nombreuses. Les peuples vivent dans la peur et luttent pour leurs survient. Cette maison détenait une arme capable de contrôler le subconscient de toutes être vivant sur cette terre. Les gens de cette maison ne se sentaient pas menacé par aucun être vivant car par ces pouvoirs, les gens vivaient en harmonie. Mais une chose à voulu s’approprier ce pouvoir, et elle a réussi. Ce signe de poisson était gravé sur le poignet de chacun des membres de cette famille. De tout les membres de la famille, un seul à été retrouvé dans les décombres. Depuis, on a plus jamais entendu parler de cette personne. Jusqu’à aujourd’hui, les gens qui on trouvé cette personne, ont gardé secret sa présence pour le jour ou il sera prêt à affronter l’ennemie juré de tous qui a répandu le malheur sur tout les peuples. Cet être, Marvin, c’est toi. Ils t’ont gardé secret pour ne pas te perdre. Tout le monde ignorait ta présence jusqu’à ce que tu sortes du temple de Rachkir. Ton signe, petit, est le signe d’Éternité. C’est le signe qui prouve qu’un jour tu découvriras comment l’homme peut vivre éternellement. La mission du voyageur est de découvrir cette recette et de la partager à tous les hommes. Tu devras vaincre tes peurs les plus terribles selon l’histoire. Tant que tu n’auras pas triomphé sur cette quête, tu es celui qui vivra toujours. Si tu échoue ta quête, tu devras supporter cette vie misérable pour le reste de tes jour. Personnellement je ne crois pas tout l’histoire car des membres de cette famille ont réussi à s’échapper de ce désastre et ont essayé de conquérir cette quête mais n’en sont jamais revenu. C’est pourquoi je te dit, Marvin, sois prudent car ton échec ne sera pas que celle de la terre, mais la tienne aussi. Je dois réapprovisionner mon navire avant de quitter à nouveau. Ta quête commence ici dans la Vallée des Enchanteurs. Mes parents t’y attendent sur la rive. Ils ont une chambre pour toi et tu pourras manger avant de commencer ta quête. Je te laisse à présent. Soit brave et fort Voyageur. »

Marvin ne croyait pas à cette histoire. Pour lui, des enchanteurs et de la magie n’existe pas. Arthur est revenu le voir avec ses bottes et son manteau bleu du style moine. C’était frisquet sur le bord de la mer donc Marvin se couvrit avec. En marchant vers le pont qui menait sur la rive de la Valée des Enchanteurs, un autre matelot l’accrocha en lui disant :

« Je suis Hénock, le gardien du quai de ce navire. Prends garde dans cette vallée, les choses ne sont pas toutes ce qu’elles ont l’aire. Tu fais vite confiance aux gens mais méfies-toi. Cette vallée n’est pas nommée la Vallée des Enchanteurs pour rien. Prends ça, j’ai une confiance total en toi, cela te servira ici, il m’en reste un peut, que pour 3 ou 4 situation, pas plus, utilise le sagement! Bonne chance! »

Hénock donna un petit sac en tissu, il y avait dedans 4 pierres. Sans savoir à quoi ces pierre servait, Marvin descendi sur la passerelle qui menait sur le bord du rivage en remerciant Hénock. Il attacha le sac de pierre à sa ceinture en mettant le pied sur terre. Les parents du Capitaine Chombarde l’attendait sur le bord de la rive. Marvin regarda le bateau par derrière avec un air incertain et rejoignit les parents du capitaine.

Chapitre 1 – Une vie bascule

Les gens croient que tout leurs est permis. Ils travaillent, ils pleurent, ils s’amusent, ils mènent tous leurs petites vies en se souciant de ce que demain réservera. Durant une vie entière, les gens ramasse leurs biens et font tout pour survivre aux dirigeants du monde. Les soldats se battent pour un pays qui n’est pas leur, les patrons d'entreprises se battent pour de l’argent qu’ils n’ont pas. Et ensuite il y a Marvin qui n'est qu’une personne ordinaire avec un boulot qui lui plait.

Marvin ne se doutait pas que le plus grand secret de l'univers lui serait montré, mais que ce secret ne serait pas sans sacrifices. Un secret enfoui au plus profond de l'âme humaine, un secret que plusieurs rejettent par crainte et d'autre par volonté. Un secret qui a causé la perte de villes et villages, un secret qui peut aussi bien détruire un homme que le reconstruire. La question réelle est de savoir si Marvin serait un homme dont ce secret pourra reconstruire sa vie ou lui faire perdre. Son histoire commence dans un bar avec sa copine. Elle est radieuse et belle de visage, une beauté qui coupe le souffle de tout homme qui la regarde. De toutes les filles sur la terre, celle-ci était parfaite à ses yeux. Une grande aux yeux bleus comme la mer. Les cheveux blonds. Son sourire peut faire oublier la moindre pensé malveillante. Elle est magnifique. Leur amour est tellement puissant que rien au monde ne peut les séparer. Lorsqu'un amour aussi grand, grandi d'avantage, un mariage est la suite logique des choses.

C’est le grand soir, le dernier soir en tant qu’homme célibataire pour Marvin, libre, comme beaucoup le disent en se moquant. Ses amis l’ont amené dans un bar pour fêter ça et sa copine est partit avec ses amies pour fêter ce jour marquant de son côté. Marvin a de bons amis et avait insisté de ne pas fêter ce jour dans un bar de danseuse tel que certaines traditions le veulent. Il tenait à garder l'image de Stéphanie en tête au lieu d'un corps d'une femme inconnue. Ils ont respecté ça. Ce sont de vrais amis qui feraient n’importe quoi pour Marvin. Marc, était le conducteur désigné ce soit là. Il a donc regardé ses amis fêter toute la soirée avant de retourner chez Marvin.

La voiture blanche avec le gros chou sur le capot était dans l'entrée de la maison. Elle contenait la totalité des biens de Marvin et Stéphanie. Mais c’est à ce moment, lors du dernier virage pour entrer dans la cours que la vie de Marvin allait changer radicalement. Un fou qui n’avait pas pris les précautions après avoir bus un verre de trop dérapa et heurta violement la voiture du futur marié. La dernière scène que Marvin vit de son auto est le visage de Bobby effrayé, ses mains plein de sang et les paroles qu'il prononça: « Ne t'inquiète pas Marvin, tu t'en sortiras !!!». En ouvrant les yeux à nouveau, Marvin se retrouva couché dans une civière entourée de 6 infirmières couverts par son propre sang. Une des infirmières lui demanda de rester calme et de fermer les yeux et que tout allait bien se passer. Marvin, ferma donc les yeux sans savoir que ce moment serait peut-être la dernière image de cette vie.

Marvin ouvrit les yeux à nouveau, et du dernier instant qu'il se souvint, il fut surpris de se porter bien mais le lit dans lequel il était ne ressemblait pas à un lit conventionnel d'hôpital. Marvin avait un peut la nausée ne sachant pas ce qu'il s'était passé entre le moment qu'il était en civière et maintenant. La fenêtre de sa chambre était ronde, il y avait une table en bois fait à la main et il y avait une toile d’araignée dans un coin. En faite, il n’y avait même pas de portes.Surpris de voir ces quelques détails un peut spéciale, Marvin décida de jeter un coups d'œil par la fenêtre. Ce qui intéressa Marvin premièrement n’était pas ce qui était à l’extérieure de la fenêtre mais son reflet. Son habillement était bleu foncé, il avait une capine sur la tête, le genre de manteaux long qui ressemble à ceux que porte les moines mais en bleu foncé. Marvin se dévêtis de ce manteau et vi sa ceinture qui était une corde nouée sur le coté, elle tenait sa chemise blanche et ses pantalons. Ses bottes étaient aussi attachées avec une corde. Malgré l'apparence bizarre se son habillement, Marvin se sentait très bien dans ses bottes nouées.

Marvin fut distrait par cet habit qui semblait dater du temps des chevaliers. Et que dire de ses pantalons? Marvin avait ôté ses bottes et vit que ses pantalons étaient déchirés au niveau de ses chevilles. Marvin se demanda alors en lui-même la seule question logique qu’il lui vint à la tête « Où suis-je? ». C’est à partir de ce moment là que la plus grande quête de sa vie et la recherche de la vérité à commencé. La grande question était celle-ci « Que s’est il passé? ». Bien sure il avait un tas d’autre questions mais celle-ci les regroupait pas mal toutes. Soudain Marvin entendit une voix qui venait d’un étage plus haut :

« Jetez l’encre!!! Préparez-vous à débarquer! »

Marvin, en regardant par le hublot encore, et par cette simple phrase qu’il entendit, réalisa qu’il était sur un bateau. Cette voix était forte et autoritaire. En l’entendant une première fois, il paraissait évident que cet homme avait de l’âge. Marvin s’était déjà fait une idée de l’apparence de cet homme. Avec les propos que cette voix tenait et les ordres qu’il donnait, il semblait évident que ce fut le capitaine. Il y’a quand même un propos du capitaine qui captiva Marvin lorsqu’il l’entendit parler :

« Que quelqu’un aille chercher ce voyageur! Traitez-le avec le plus grand respect, il est notre seul espoir! »

« Oui capitaine! J’y vais tout de suite! »

« Et veille à ce qu’il ne manque de rien! C’est ici que je m’arrête avec lui. Si je vais plus loin avec, il mourra certainement!»

« Oui capitaine! J’y veillerai personnellement! Dois-je l’accompagner? »

« Non matelot! J’ai choisis cet endroit car c’est ici qu’il est le plus sur. Ma famille saura l’accueillir avec soin. »

Le matelot, d’un pas pressé, descendit rencontrer Marvin. En le voyant, Marvin ne sembla pas sur de vouloir débuter une conversation avec lui. Il était couvert de saleté. Il avait l’aire des matelots qu’on voit typiquement dans les bandes dessinées. Chandails blanc avec des rayures rouges, déchiré au niveau de la ceinture et des pantalons, déchiré aussi, au niveau des genoux, le tout tenu par une corde attaché au coté. Marvin regarda ses vêtements et compris qu’il n’était pas seul habillé de cette façon avec des cordes comme ceinture. Marvin obéit au matelot. Il ne sembla pas déroger des ordres du capitaine et il était doux et gentil.

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